Le nouveau président argentin élu, Alberto Fernandez, a déclaré lors d’une réunion avec les étudiants de l’Université nationale de Mexico, au Mexique, que l’avortement ne devrait pas être un crime.
Il a ajouté que « L’Etat (en Argentine) devrait garantir aux femmes le droit d’accéder à l’avortement dans des conditions appropriées ».
Lors de la même réunion, Fernandez, qui sera investi le 10 décembre, a estimé que « l’avortement est un problème de santé publique et ne doit pas être criminalisé ».