Les élections générales au Maroc, une première qui regroupe les scrutins législatifs, régionaux et locaux, vont se tenir le mercredi 8 Septembre, malgré les contraintes liées à la pandémie du Covid-19.
Ces élections sont suivies de très près par les pays et les organismes étrangers concernant le modèle marocain qui a su gérer les situations de crises depuis le printemps arabe jusqu’à la pandémie virale.
Les initiatives et les directives du Roi Mohammed VI dans les domaines socio-économique et diplomatique, ont propulsé le pays sur la scène internationale.
Le règne du Roi sera toujours marqué par la reconnaissance des Etats Unis de la souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental et de l’appui de plusieurs pays avec l’ouverture de leurs consulats dans le sud marocain, malgré l’entêtement de son voisin l’Algérie qui ne cesse de soutenir le polisario, une entité impliquée dans le terrorisme jihadiste en connexion avec l’Iran.
Le Maroc, pays stable à travers l’histoire, avec ses infrastructures, est devenu un hub régional pour les investisseurs étrangers dans la production aérospatiale, l’avionique, l’automobile, le secteur médical, l’agroalimentaire, le tourisme, et autres…
Selon des analystes, le boom économique et diplomatique ne peut être attribué aux dirigeants du parti islamiste de la justice et du développement (PJD), qui freinent l’essor du pays dans l’émancipation de la femme et les relations diplomatiques avec l’Etat hébreu, alors que plusieurs Etat d’obédience islamique à l’instar de la Turquie, ont des coopérations économiques et même militaro-stratégiques avec Israël.
Nonobstant les résultats des urnes, le Royaume du Maroc, pays ancestral, avec ses traditions, reste et restera toujours un pays légendaire pour ses amis ainsi que pour ses ennemis.