Le couple Filali, Dounia et son mari Adnane, présumé être « harcelé et menacé par le régime marocain », s’activant sur les réseaux sociaux, à la solde de certains pays, prône l’antisémitisme et l’apologie des groupes terroristes, demande l’asile politique en France, alors que leur commerce s’articulait uniquement sur la traite de la blanche et les accessoires.
L’article publié par le journal Libération, des messages antisémites, anti-France et racistes ont refait surface, publiés pendant plusieurs années par le couple Filali qui, étonnamment, jouit de la complaisance coupable des autorités françaises.
Le Gouvernement français, qui a esquissé en octobre 2021 au Sénat la vision que la France portera lors de sa présidence de l’Union Européenne (UE), afin de trouver un consensus autour du pacte sur l’asile et les migrations, n’a pas hésité à vouloir offrir un refuge à un couple coupable d’apologie de la haine, Dounia et Adnane Filali.
Dans un article très tendancieux, le journal français Libération a transformé Dounia Filali en une youtubeuse qui enquêterait, soi-disant, sur la corruption et la répression au Maroc, sans vérification préalable digne d’un grand journal.
Cette presse connue pour ses tendances racistes et manipulatrices, s’obstine à dénigrer les réformes et la modernisation du Royaume du Maroc.
Le rapprochement politico-économique du Maroc et Israël dérange plusieurs pays et entités européennes.
Par ailleurs, le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme a demandé officiellement aux autorités françaises et particulièrement à l’OFFICE FRANCAIS DE PROTECTION DES REFUGIES ET APATRIDES (OFPRA) de refuser l’asile en France des époux Filali Dounia et Adnane, ni réfugiés, ni apatrides.
Andreï Touabovitch
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